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Les nouvelles exigences du label Flamme verte

Les nouvelles exigences du label Flamme verte

Depuis le 1er janvier 2015, Flamme verte a augmenter ses critères.

Pour être labellisés Flamme verte, les appareils de chauffage au bois doivent désormais répondre à des exigences de rendement renforcées, avec des émissions de polluants réduites.

Créé par les fabricants d’appareils de chauffage au bois et par l’Agence de l’environnement (Ademe), le label Flamme verte porte sur le niveau de performance et les émissions de polluants des appareils de chauffage au bois. Depuis le 1er janvier 2015, ses exigences sont renforcées. Jusqu’à fin 2014, le niveau 5 étoiles était la distinction la plus haute. À présent, il correspond seulement au minimum requis.

Appareils à bûches
Pour un foyer fermé, un insert ou un poêle à bûches, la classe 5 étoiles  correspond à un rendement minimum de 70 %, un taux de monoxyde de carbone de 0,3 % maximum et des émissions de particules fines inférieures à 90 milligrammes par m3.

Deux nouvelles classes sont créées, les 6 et 7 étoiles. Soit 75 % de rendement minimum, 50 milligrammes de poussières et un taux de monoxyde de carbone de 0,15 % pour les 6 étoiles.

Les émissions de polluants sont encore réduites avec les appareils à bûches 7, mais le rendement, lui, reste à 75 %. « On ne peut pas augmenter le rendement au-delà de 80 % sur un appareil à bûches, précise Olivier Grelier, responsable de la certification au syndicat des énergies renouvelables. On a un problème d’évacuation des fumées si on réduit leur température. Ce n’est pas le cas avec les poêles à granulés, ils sont  plus proches d’une chaudière que d’un appareil à bûches en fonctionnement. »

  • Poêles à granulés
  • Chaudières bois
  • Chauffage bois et crédit d’impôt…

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